Après avoir passé une nuit à l’hôtel du Commerce, vous appelez la ligne automatisée pour commander un café noir avec des cubes de sucres. Après tout, c’est une façon de bien se réveiller le matin.
Vous attendez quelques minutes et vous entendez quelqu’un cogner à votre porte de chambre. Vous ouvrez la porte. C’est l’homme du service de chambre. Il vous apporte votre café dans un plateau couvert d’une cloche. Vous le remerciez. L’homme dépose le plateau sur une petite table et s’en va. Vous levez la cloche. Sur le plateau sur trouve un café bien noir, mais rien d’autre. Aucun sucre.
Pensant qu’il s’agit d’une erreur, vous rappelez la ligne automatisée de l’hôtel pour commander un autre café. Vous attendez une minute et quelqu’un cogne à votre porte. C’est à nouveau l’homme du service de chambre. Il va échanger le plateau couvert d’une cloche et il part. Vous levez la cloche. Toujours pas de cubes de sucres.
Vous commencez à vous fâcher. C’est ridicule! Vous commandez un troisième café. Vous attendez une minute et quelqu’un cogne à votre porte. C’est l’homme du service de chambre. Avant qu’il ait pu entrer dans la chambre, vous lui parlez.
« Monsieur, j’ai une plainte à formuler. »
« Oh là là! » Dis l’homme, tout embarrasser. « Quel est le souci? »
« Votre café est infect! » Ce qui est faux, vous n’y avez pas goûté. « Et je n’ai même pas eu de sucre. » Ce qui est vrai.
« Il doit s’agir d’une erreur. »
L’homme du service de chambre lève la cloche. Il y a un café noir, mais aucun cube de sucres.
« Un instant! » Dit-il, avant de partir en courant.
Il revient rapidement avec un autre plateau couvert d’une cloche.
« Voilà le sucre. » Dit-il, tout en vous montrant le contenu du nouveau plateau.
« C’est bien, merci, mais je veux quand même formuler une plainte officielle. »
« Dans ce cas… que diriez-vous d’un service de chambre ‘chaud’? »
« Pardon? »
« Notre hôtel doit préserver sa réputation, vous comprenez, alors nous avons un service ‘secret’ pour, euh, couvrir les plaintes. »
« Donc voulez-vous coucher avec moi? »
« Pas tout à fait. Je parle bien de services sexuels, mais je n’ai pas le droit de toucher les clients. »
« Comment? »
« C’est le règlement. Le service de chambre ‘chaud’ stipule que le client peut me toucher d’une manière sexuelle, mais je ne peux pas le toucher en retour. »
« C’est stupide! »
« Vous m’en voyez navrer. Alors, allez-vous prendre le service ‘chaud’? »
Bien que très limité dans ce que vous allez pouvoir faire avec l’homme, vous accepter. De toute façon, vous avez eu votre sucre avec votre café.
L’homme du service de chambre entre et il va déposer le plateau sur la petite table. Il se déshabille. Vous l'embrassez partout et vous mettez sa bite dans votre bouche. Vous prenez votre temps pour que l’homme gémisse longtemps avant d’éjaculer dans votre palais. Ensuite, vous retirez votre bouche.
« Avez-vous terminé? » Il vous demande d’un ton professionnel.
« Non, pas encore. »
Vous léchez ses mamelons pendant que vos mains jouent avec son pénis. L’homme gémit et il se retient d’éjaculer à nouveau.
« Ahhh~, s’il vous plait, ohhh~, arrêter! » Il vous supplie. « Il ne faut pas, ahhh~, salir le plancher. »
« Pourquoi? » Vous lui demandez, tout en arrêtant de lécher les mamelons.
« C’est un service, ahhh~, secret. Il ne faut pas laisser de traces. »
« C’est nul! »
Vous arrêtez de tripoter sa bite. L’homme vous demande à nouveau si vous avez terminé. Vous soupirez et vous dites oui. L’homme du service de chambre vous remercie, se rhabille et quitte la chambre.
Pour un service de chambre ‘chaud’, cela laisse à désirer. Vous prenez votre café avec deux cubes de sucre et vous sortez de l’hôtel du Commerce.